Keine Einigung zwischen CNS und FAPSYLUX – und jetzt?

Seit Jahren wird versucht, eine Vereinbarung zur Erstattung der psychotherapeutischen Behandlung zu finden. Immer wieder werden die Verhandlungen abgebrochen, weil sich beide Parteien nicht einigen. Der Patient bleibt auf der Strecke. Bis wann soll eine Lösung gefunden werden? Unsere Abgeordnete Carole Hartmann hat beim zuständigen Minister nachgefragt.

« Lors de la séance publique du 8 mars 2022, Monsieur le Ministre s’était montré confiant que les négociations entre la CNS et la Fédération des associations représentant des Psychothérapeutes au Grand-Duché de Luxembourg, dit « FAPSYLUX » allaient mener à un accord favorable, et que le remboursement de la psychothérapie par la CNS allait être introduit dans les mois à suivre.

Le cas échéant que les négociations allaient aboutir sans accord entre les entités concernées, Monsieur le Ministre avait prévu, dans une entrevue avec le Luxemburger Wort, la mise en place de procédures légales, ceci dans le but d’accélérer le processus.

Il s’avère aujourd’hui, que les négociations entre la CNS et la FAPSYLUX ont une nouvelle fois échoué.

Dans ce contexte, nous aimerions poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre de la Sécurité Sociale :

  • Quelle est la position de Monsieur le Ministre face à l’échec des négociations confirmée aujourd’hui par la CNS ?
  • Conformément à sa déclaration lors de l’entrevue susmentionnée, est-ce que Monsieur le Ministre entend mettre en place des procédures légales afin d’aboutir à un accord entre le CNS et FAPSYLUX ?
  • Pour quand, Monsieur le Ministre, estime-t-il que le remboursement des traitements psychothérapeutiques pourra être mis en place ? »

Antwort

Suite au constat d’échec des négociations entre la Caisse nationale de santé (CNS) et la Fédération des associations représentant des psychothérapeutes (FAPSYLUX) sur la valeur de la lettre-clé, constatée par le conseil d’administration de la CNS en date du 14 septembre 2022, la procédure de médiation a été déclenchée et ceci en application de l’article 69 du Code de la sécurité sociale. Cet article dispose que :

« Art. 69. En l’absence d’accord avant le 31 décembre sur l’adaptation de la lettre-clé conformément à l’article 67 ou sur les tarifs conventionnels non établis moyennant lettre-clé, l’Inspection générale de la sécurité sociale convoque les parties en vue de la désignation d’un médiateur.

A défaut d’entente collective :

1) sur l’élaboration d’une nouvelle convention après un délai de négociation de six mois suivant la convocation faite par la Caisse nationale de santé ;

2) sur l’adaptation de la convention dans les six mois suivant la dénonciation totale ou partielle de l’ancienne convention ;

3) sur les dispositions obligatoires de la convention visées à l’article 64 et à l’article 66, alinéa 3, après un délai de négociation de six mois suivant la convocation faite par la Caisse nationale de santé, l’Inspection générale de la sécurité sociale convoque les parties en vue de la désignation d’un médiateur.

Si les parties ne s’entendent pas sur la personne du médiateur, celui-ci est désigné par le ministre ayant dans ses attributions la Sécurité sociale.

[…] »

En application des dispositions légales, l’Inspection générale de la sécurité sociale (IGSS) a convoqué les parties (CNS et FAPSYLUX) pour désigner un médiateur. Or, faute d’accord entre parties, l’IGSS a dû en informer le ministre de la Sécurité sociale qui a en conséquence procédé à la désignation d’un médiateur en date du 23 septembre 2022. La procédure de médiation a donc débuté en application des dispositions précitées.

Parallèlement, la Commission de nomenclature a été saisie de demandes standardisées pour introduire dans la nomenclature des actes de psychothérapie. Une première réunion au format « psychothérapie » a eu lieu en date du 5 octobre 2022 afin de débuter les travaux relatifs à la fixation des actes et coefficients dans le domaine de la psychothérapie.

Il y a lieu d’attendre les résultats de la médiation qui peuvent soit se conclure par un accord entre parties, soit par un échec auquel cas la prochaine étape doit être déclenchée. En parallèle, les travaux de la Commission de nomenclature sont poursuivis en vue d’une recommandation circonstanciée qui donnera lieu à un projet de règlement grand-ducal en application des dispositions de l’article 65 du Code de la sécurité sociale.

Möchten Sie eine Übersetzung dieser parlamentarischen Anfrage auf Deutsch ?

Teilen:

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp

Weitere parlamentarische Fragen

Administrative Belastung in der Grundschule

Trotz der Bemühungen des Bildungsministeriums, die administrativen Aufgaben an den Grundschulen zu vereinfachen, weisen Gewerkschaften auf eine zunehmende Bürokratie für die Lehrkräfte hin. Wie stellt sich die Situation in der Praxis dar, und welche Rolle könnte künstliche Intelligenz dabei spielen? Eine parlamentarische Anfrage unserer Abgeordneten Gilles Baum und Barbara Agostino soll Klarheit schaffen.

weiterlesen...

Zweite Fachkraft und A-EBS im Zyklus 1 des Grundschulunterrichts

Um von Anfang an eine bessere pädagogische Differenzierung zu ermöglichen, sieht der Koalitionsvertrag die schrittweise Einführung einer zweiten Fachkraft im Zyklus 1 vor. Im Hinblick auf die Einführung des Projekts Alpha ab dem Schuljahr 2026/2027 käme dieser zweiten Fachkraft auch eine wichtige Rolle bei der Vorbereitung der Alphabetisierung zu. Zudem sollen neue Assistenten für Schüler mit spezifischem Förderbedarf (A-EBS) zur Entlastung der Lehrkräfte beitragen. Unsere Abgeordneten Gilles Baum und Barbara Agostino haben beim Bildungsminister nach dem aktuellen Stand dieser Vorhaben gefragt.

weiterlesen...

Wie viele Menschen leiden an Magersucht?

Neben Übergewicht ist auch Magersucht ein Problem unserer Gesellschaft. Die DP-Abgeordneten André Bauler und Gilles Baum haben bei der Gesundheitsministerin unter anderem nachgefragt, wie viele Magersuchtpatienten in Luxemburg ins Krankenhaus mussten, wie lange die Behandlung durchschnittlich dauert und wie sich die Behandlungskosten in den letzten zehn Jahren entwickelt haben.

weiterlesen...

Kein Zugriff auf biologische Ergebnisse der LëtzHBM-Studie?

Im Rahmen der LNS-Studie „LëtzHBM“ werden biologische Proben und Umweltproben gesammelt, um das Vorhandensein chemischer Substanzen in Privathaushalten zu bestimmen. Die Ergebnisse der biologischen Proben werden den Teilnehmern, im Gegensatz zu den Umweltproben, nicht systematisch mitgeteilt.
Der DP-Abgeordnete Dr. Gérard Schockmel habt bei der Gesundheitsministerin nachgefragt, warum diese Ergebnisse nicht mitgeteilt werden und ob dies mit den Datenschutzbestimmungen vereinbar ist.

weiterlesen...