Zweite Fachkraft und A-EBS im Zyklus 1 des Grundschulunterrichts

Um von Anfang an eine bessere pädagogische Differenzierung zu ermöglichen, sieht der Koalitionsvertrag die schrittweise Einführung einer zweiten Fachkraft im Zyklus 1 vor. Im Hinblick auf die Einführung des Projekts Alpha ab dem Schuljahr 2026/2027 käme dieser zweiten Fachkraft auch eine wichtige Rolle bei der Vorbereitung der Alphabetisierung zu. Zudem sollen neue Assistenten für Schüler mit spezifischem Förderbedarf (A-EBS) zur Entlastung der Lehrkräfte beitragen. Unsere Abgeordneten Gilles Baum und Barbara Agostino haben beim Bildungsminister nach dem aktuellen Stand dieser Vorhaben gefragt.

« Le programme de coalition prévoit le développement et la mise en place d’un deuxième intervenant au cycle 1, afin de favoriser une meilleure différenciation pédagogique en classe et d’offrir aux enfants les meilleures chances dès le départ. Compte tenu des difficultés actuelles de recrutement d’éducateurs, cette mesure devrait être introduite de manière progressive, avec la possibilité d’impliquer du personnel des structures d’éducation et d’accueil (SEA) n’ayant pas de contrat à temps plein pour renforcer les équipes du cycle 1.

Par ailleurs, dans la perspective de la généralisation du projet Alpha, qui introduira, dès la rentrée scolaire 2026/2027, la possibilité d’une alphabétisation en langue française à partir du cycle 1.2, le rôle de ce deuxième intervenant pourrait être déterminant. En effet, il pourrait, entre autres, soutenir les enseignants du cycle 1.2 dans la préparation à la phonétisation des enfants, en allemand ou en français, selon la langue d’alphabétisation prévue au cycle 2.1.

L’accord de coalition prévoit également l’introduction d’assistants pour élèves à besoins éducatifs spécifiques (A-EBS). Ces derniers auront pour mission d’assister les instituteurs spécialisés pour élèves à besoins éducatifs spécifiques (I-EBS) dans la scolarisation de ces élèves. Ainsi, les A-EBS contribueront à réduire la charge des enseignants, souvent déjà fortement sollicités par l’accompagnement des élèves à besoins spécifiques. Dans ce contexte, nous aimerions poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre de l’Éducation nationale, de l’Enfance et de la Jeunesse :

  1. Monsieur le Ministre pourrait-il nous indiquer où en est actuellement la mise en place du concept du deuxième intervenant au cycle 1, tel que prévu dans l’accord de coalition ?
  2. Des synergies concrètes avec le personnel des structures d’éducation et d’accueil (SEA) sontelles déjà prévues ou mises en œuvre dans ce cadre ?
  3. Quel calendrier est envisagé pour l’ introduction progressive du deuxième intervenant dans les cycles 1 des écoles fondamentales ? 
  4. Dans quelle mesure ce deuxième intervenant pourra-t-il contribuer au travail préparatoire en lien avec la généralisation du projet Alpha ? 

Quel est l’état d’avancement du déploiement des assistants pour élèves à besoins éducatifs spécifiques (A-EBS) au cycle 1 ?»

Möchten Sie eine Übersetzung dieser parlamentarischen Anfrage auf Deutsch ?

Teilen:

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp

Weitere parlamentarische Fragen

Administrative Belastung in der Grundschule

Trotz der Bemühungen des Bildungsministeriums, die administrativen Aufgaben an den Grundschulen zu vereinfachen, weisen Gewerkschaften auf eine zunehmende Bürokratie für die Lehrkräfte hin. Wie stellt sich die Situation in der Praxis dar, und welche Rolle könnte künstliche Intelligenz dabei spielen? Eine parlamentarische Anfrage unserer Abgeordneten Gilles Baum und Barbara Agostino soll Klarheit schaffen.

weiterlesen...

Wie viele Menschen leiden an Magersucht?

Neben Übergewicht ist auch Magersucht ein Problem unserer Gesellschaft. Die DP-Abgeordneten André Bauler und Gilles Baum haben bei der Gesundheitsministerin unter anderem nachgefragt, wie viele Magersuchtpatienten in Luxemburg ins Krankenhaus mussten, wie lange die Behandlung durchschnittlich dauert und wie sich die Behandlungskosten in den letzten zehn Jahren entwickelt haben.

weiterlesen...

Kein Zugriff auf biologische Ergebnisse der LëtzHBM-Studie?

Im Rahmen der LNS-Studie „LëtzHBM“ werden biologische Proben und Umweltproben gesammelt, um das Vorhandensein chemischer Substanzen in Privathaushalten zu bestimmen. Die Ergebnisse der biologischen Proben werden den Teilnehmern, im Gegensatz zu den Umweltproben, nicht systematisch mitgeteilt.
Der DP-Abgeordnete Dr. Gérard Schockmel habt bei der Gesundheitsministerin nachgefragt, warum diese Ergebnisse nicht mitgeteilt werden und ob dies mit den Datenschutzbestimmungen vereinbar ist.

weiterlesen...