Vote-Wielen-Voter-Wahlen

Comment devraient figurer les noms sur les listes de candidats?

Le député André Bauler a demandé à la ministre de l'Intérieur comment les noms devaient figurer exactement sur les listes de candidats.

Il me revient que, contrairement à l’usage des dernières années électorales, il existe une divergence d’interprétation des textes légaux en ce qui concerne l’inscription des prénoms sur les listes prévues à cet effet.

La législation en vigueur prévoit en effet que les noms et les prénoms doivent être inscrits sur les listes à déposer. Or, à l’heure qu’il est, il nous est rapporté que le président d’un bureau de vote exige l’inscription de l’ensemble des prénoms tel qu’ils sont inscrits dans le registre national des personnes physiques et dans ce même ordre. Cette exigence peut mener à des situations inhabituelles, dans la mesure où le prénom sous lequel la personne est connue usuellement n’est pas identique à celui figurant sur la liste électorale.

Il va sans dire qu’une telle situation prête manifestement à confusion, au moment de l’élection au plus tard. Autrement dit, les électeurs doivent pouvoir reconnaître aisément les candidats qu’ils sont disposés à élire, notamment dans l’intérêt d’un bon fonctionnement de la démocratie locale.Vu que la date limite pour ce dépôt se rapproche, il va de soi qu’une clarification s’impose dans les plus brefs délais afin de garantir un traitement équitable des candidats concernés.

Souhaitez-vous une traduction en français de cette question parlementaire ?

Partager :

Facebook
Twitter
LinkedIn
Email
WhatsApp

Plus de questions parlementaires

Successeur de MILA

Lors de la séance de la Commission scolaire du 17 juin 2025, il a été annoncé que le programme d’alphabétisation en allemand MILA sera remplacé par un nouveau programme scolaire. Aujourd’hui, seuls environ 20 % des élèves l’utilisent encore, de nombreux enseignants estimant qu’il n’est plus adapté. Nos députés Gilles Baum et Barbara Agostino interpellent le ministre de l’Éducation sur l’introduction du nouveau matériel, ses orientations didactiques et la formation des enseignants.

lire plus...

La coopération entre le LNS et des laboratoires privés et l’automatisation au sein du LNS

Le diagnostic de maladies graves comme le cancer dépend fortement des analyses de biopsies réalisées au LNS. Or, malgré certaines améliorations, les délais restent longs, notamment en oncologie, gynécologie et dermatologie, ce qui pèse lourdement sur les patients. Nos députés Mandy Minella et Dr. Gérard Schockmel interpellent la Ministre de la Santé sur les mesures prévues en matière d’automatisation, de digitalisation et de coopération avec des laboratoires privés.

lire plus...

Charge administrative dans l’enseignement fondamental

Malgré la volonté affichée du Ministère de l’Éducation de simplifier les tâches administratives dans les écoles fondamentales, les syndicats soulignent une hausse de la bureaucratie pesant sur les enseignants. Quelle est la réalité sur le terrain, et quel rôle pourrait jouer l’intelligence artificielle dans ce contexte ? Une question parlementaire de nos députés Gilles Baum et Barbara Agostino cherche des réponses.

lire plus...