Comment vont nos agriculteurs, jardiniers et vignerons ?

Il y a quelques années, le service "En oppent Ouer fir de Bauer, Wënzer a Gärtner" a été lancé. Les députés du DP André Bauler et Gusty Graas ont demandé au ministre de l'Agriculture comment se porte ce service et s'il y est plus sollicité depuis le début de la pandémie ?

«  Il y a quelques années le Ministère de l‘Agriculture, de la Viticulture et du Développement rural avait créé le service téléphonique spécial « En oppent Ouer fir de Bauer, Wënzer a Gärtner  » accueillant et conseillant des personnes issues du monde agricole et horticole qui se trouvent en situation de détresse psychologique et/ou matérielle. 

Voilà pourquoi nous aimerions poser les questions suivantes à Monsieur le Ministre de l’Agriculture, de la Viticulture et du Développement rural :

  1. Dans quelle mesure et à quel rythme le service en question a-t-il été sollicité ces derniers temps?
  2. Monsieur le Ministre peut-il fournir des précisions concernant l’organisation concrète de ce service telle qu’elle se présente actuellement?
  3. Depuis l’éclatement de la pandémie en mars 2020, les problèmes personnels éprouvés par des ressortissants du monde agricole et horticole ont-ils pris une autre teneur? Quelles sont les situations de détresse les plus souvent rencontrées par les personnes visées par le service?»

Réponse

  1. Dans quelle mesure et à quel rythme le service en question a-t-il été sollicité ces derniers temps ?

Il n’y a pas eu de contacts ces derniers temps.

  • Monsieur le Ministre peut-il fournir des précisions concernant l‘organisation concrète de ce service telle qu’elle se présente actuellement ?

Le service ne fonctionne que deux heures par semaine. En dehors de cette période, les demandeurs ont toujours la possibilité de laisser un message au répondeur.

  • Depuis l’éclatement de la pandémie en mars 2020, les problèmes personnels éprouvés par des ressortissants du monde agricole et horticole ont-ils pris une autre teneur ? Quelles sont les situations de détresse les plus souvent rencontrées par les personnes visées par le service ?

Les problèmes évoqués traitent en général les mêmes sujets qu’avant la pandémie. Comme déjà évoqué dans notre réponse à la question parlementaire n°2108, les échanges avec les demandeurs restent anonymes et confidentiels.

Souhaitez-vous une traduction en français de cette question parlementaire ?

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